Alors que Trump essaie d’améliorer les relations bilatérales américaines avec la Russie et la Chine, les services de renseignement américain et le centre de commandement stratégique du Pentagone réalisent une étude pour voir si les dirigeants russes et chinois sortiraient sains et saufs d’une attaque nucléaire.
Selon le site d’informations Bloomberg, cette étude a été lancée avant que n’arrive à la Maison Blanche, Donald Trump et sur initiative et avec le soutien des deux partis démocrate et républicain qui ne voyaient pas d’un très bon œil l’augmentation de la puissance militaire de la Chine et qui étaient méfiants aussi quant au président russe, Vladimir Poutine.
Trump qui a promis de renforcer et d’élargir considérablement les capacités nucléaires américaines, a prédit aussi qu’il pourrait s’accorder avec Poutine sur beaucoup de points ; ce qui inclut aussi une éventuelle réduction ou annulation des sanctions anti-russes. Les deux dirigeants ont d’ailleurs parlé de leurs relations bilatérales pendant près d’une heure au téléphone, samedi.
L’étude en question vise donc à évaluer les capacités post-attaque des deux puissances nucléaires que sont la Chine et la Russie.
L’examen inclut l’emplacement et la description des importantes installations nucléaires sur terre et souterraines et plus particulièrement celles utilisées par les dirigeants chinois et russes en temps de guerre et en temps normal.
